A manger du foin
Dans la population de nos jours, en tant que fines observatrices, il nous est très facile de distinguer une catégorie à part de la gente féminine. Ce 6e sens, qui vous est donné quand vous naissez avec un double X vous fait pressentir au premier coup d’œil, les énergumènes qui peuplent cette catégorie.
Ici, nous ne parlons pas des gens-filles ayant une personnalité plutôt extravertie, pas non plus de celles qui peuvent se prévaloir du titre de clown ou autre talentueuse de pitreries, ni même celles qui par un jeu anodin et inconscients, en sont très séduisantes.
Non, nous parlons de ce type de ‘nanas’ qui fait EXPRES.
Exprès, et font leur « intéressante ».
C’est simple, focalisons-nous sur leur comportement :
Généralement, la fille-qui-fait-son-intéressante-exprès ne respirent et ne transpirent pas non plus l’intelligence. On peut très facilement les affilier à la famille des oiseaux de basse-cour. C’est simple, elles ne rigolent pas, elle glougloute. Et dans certains cas, au summum, elles s’éclaffent comme des chevaux. Son comportement se synthétise en quelques grands points : elles se dandinent, elles poussent la chansonnette régulièrement (soit du yaourt, soit faux, généralement les deux), elles font de l’humour (qui n’en ai point, même pas de l’humour du 36e degré) ; et quelques fois, elles se comportent un peu comme des blondes qui n’en sont pas.
Alors, dans ce cas-là, nos seules envies se résument à les secouer comme des pruniers, les baffer, leur ouvrir le crâne pour y glisser un semblant de cerveau.
Personnellement elles… m’énervent, m’épuisent, ne me font absolument pas rire et généralement pour finir me font pitié. Même si être en présence d’une fille-qui-fait-son-intéressante-exprès pourrait nous valoriser, nous les vraies filles ; moins j’en côtoie, mieux je me porte.
C’est pour ça que je n’ai dans mon entourage,
que des gens-filles formidables.