Soldatée

Dans la vie d'une fille - des homme onsenfout - deux périodes sont quasi inévitables. Les dates sont officiellement connues depuis des mois; le repérage est essentiel; les vitrines et étiquettes soigneusement surveillées. Certaines nanas triment des heures, des jours et même des mois (d'autres ne font que piquer la CB du Cher&Tendre - bien que ceci relève d'un haut stratagème qui fera l'objet d'un prochain billet, ou non-) afin d'être financièrement prêter à assumer leurs tendances crâmeuses flambeuses.

C'est comme ça, peu importe la nature stylistique (dont font partie les Class'XX notamment (si je fais des renvois, c'est pour votre bien, pas pour faire jouli)) des filles. On se doit de faire les soldes. C'est plus ancré en nous que certains rituels traditionnels dépassés. C'est une sorte d'essence. Tu es fille, tu fais les soldes. Tu n'es pas obligée de revenir avec vingt sept articles et des réductions de cinquante pour cents, automatiquement. C'est le geste qui compte.

Sauf qu'au jourd d'aujourd'hui, telle que tu me vois lis, j'ai failli oublier de faire les soldes. Je sais, "Shame on Me", pendaison par crochets, flagelations diverses et variées, lacérage des intestins blabla.

Afin de palier cette erreur de débutante, je me suis mise en quête de l'objet de mes non-convoitises. C'est alors que votre Mademoiselle du Ô du gateau peut être gratifiée d'un "judicieuse" et ce, bien plus que toutes les autres filles (ahah). Car j'ai joint l'utile (ou presque) à l'agréable. Ah, heureusement que j'aime les théières sobres, de couleurs unie et foncée, traditionnelles et de formes carrées, hein.

Car voici mon nouveau "pot à lait" !
dégoté avec un -50%, notez l'effort.

La musique du jour s'écoute ici.